Vidova Gora
Vidova gora c'est le sommet le plus haut d'archipel adriatique (780m).
La montée alpine de Gospa Karmelska à Bol dure deux heures, mais beaucoup de gens préfèrent l'acces par route (18km):Supetar- Nerežišća-Knežeravan ( où il y a des cabanes de bergers dont il est recommandable de visiter celles à Gažul )-Vidova Gora, parcequ'il offre un profil complet de toutes les variétés du terrain pierreux de Braè et des fôrets endémiques du pin noir.
Le mont a pris son nom d'après les ruines de la petite chapelle St. Vid, 100 m du sommet. Son titulaire indique un très vieux cult Croate du dieu Slave Svetovid.
Pendant la visite de lîle de Braè on ne peut pas negliger le panorama de Vidova Gora. À la distance on peut voir le doigt d'or de Veliki rat, un file des baies de Braè. De l'autre côté on peut voir le partie du nord de l'île Hvar, péninsule Pelješac, Korèula, Vis et Biševo, jusqu'à Jabuka. Pendant les jours clairs on peut aussi voir Monte Gargano qui se trouve sur la péninsule des Apennins.
Le désert Blaca
Le désert Blaca qui était autrefois le célèbre désert des glagoljaši et l'observatoire astronomique, se trouve à l'est de la vallée, au sud de l'île de Braè, entre Bol et Milna.
Un acces comfortable est possible par une route large de la vallée Blataèka ( Blataèka uvala ) où bien par un sentier, du centre de la ville, à travers Nerežišće, flaque Žurmo(la semence du sarcophage vieux-chrétien) et Dragovode (où on peut voir des maisons de bergers de Braè d'autrefois qui ont été construites près de la source de l'eau.
Dans la grotte Ljubitovica, qui se trouve dans une vallée escarpée au sud de l'île, deux prètres catholiques glagoljaši de Poljice ont trouvé un appartement qui est promptement devenu un couvent d'ermites.
Parmis 11.000 livres qui se trouvent dans la librarie du couvent, une assez grande partie date de la période avant 1800. l'archive montre que tous les travaux economiques et agricoles quotidiens, ont été precisement enregistrés pendant des générations.
C'étaient des travaux économiques et agricoles quotidiens, début de la floraison, la croissance et la récolte des produits du sol aux champs de Blace. On peut y aussi trouver des informations sur le rythme du climat en général. Blaca ont gardé son inventaire aujourd'hui exposée au musée. L'héritage astronomique de dernier ermite de Blaca, dom Niko Milièević le jeune est particulièrement valable.
Škrip
Škrip est un habitat le plus vieux sur île Braè. Au-dessous d'habitat (le nom derrivé de lat. scrupus = des grandes pierres aigûments. ) on y trouve des carrières fameuses Plate, Stražišće et Rasohe dans lesquelles on prenait la pierre pour Salona, pour la palace de Dioclétien et les thermes à Sirmium pannonien, en protection d'Héraclès et sous une surveillance militaire.
Les ateliers antiques de tailleurs de pierre travaillaient près d'eux. Ils envoyaient ses sarcophages caractéristiques jusqu'à Ravenna et Akvileja. Dans les carrières de Škrap on prenait aussi du marbre noir aux incrustations des coquillages de mer. Ce marbre a été utilisé pour la taile du meuble de la plupart des basiliques d'haute chrétienité en Dalmatie.
Puisque les blocs et les objets taillés ont été baissés par une rampe jusqu'au port de Split, on peut encore voir des blocs de pierre taillés qui sont tombés dans la mer pendant l'embarquement aux galères.
Autour d'une harmonie pitoresque du castel Radojković où se trouve le musée régional de l'île de Braè (une collection archéologique superbe et exposition des outils économiques de Braè ), les murailles “megalitiques“ qui entouraient l'habitat illyrien, sont bien préservées (espace d'environ 0.8 ha).
La retrouvaille de la céramique mycénienne montre la possibilité d'une collonisation grecque et les nombreuses églises et basiliques font de Škrip un endroit exceptionnel qui nous donne un profil unique de toutes les époques historiques et aussi un profil de la vie à l'île de Braè pendant mille d'années.